7h (matin)

Je me réveille. Je baille bien fort "aaaaah" ! Mes frères et sœurs ne sont pas encore réveillés, et ma mère non plus. Je m'étire, et commence à faire ma toilette.

J'étais entrain d'attraper un superbe libère et…
Je me réveillais en entendant des coups de langues, je tournais la tête et vis Petite Brise faire sa toilette, je m'approche doucement et lui lèche les oreilles.
-Dis donc tu t'es levée tôt aujourd'hui ! dis-je en ronronnant
Je me remis à lécher ces petite oreilles et sa petite tête.

- Oui !
je ronronne de plaisir

-As-tu faim ? lui demandais-je en entendant son et mon ventre gargouiller.

En entendant ma mère je me rendis conte que j'étais affamée.
- Oui !

Je sortis de la pouponnière et partageait un écureuil dodu avec ma mère.

Je mangeais avec Petite Brise quand soudain un bruit me fit lever la tête…je me levais et me dirigeais vers ce bruit et…ce n'était qu'une branche qui avait été arrachée par le vent car à cette période c'était vraiment horrible. Il faisait très froid.
J retournais vers Petite Brise.

Je sursautai. Brouillard Obscur se dirigea vers le bruit et revins. Je l'interrogeai du regard, mais elle me souris pour montrer que ce n'était rien.
- Brrr .... J'ai froid !

- Il fait vraiment très froid je suis d'accord avec toi. Veux-tu rentrer à la pouponnière pour te réchauffer ? lui proposais-je alors.

- Oui ! Et je pourrai jouer avec Petit Topaze comme ça !

Je cours vers la pouponnière et saute sur mon frère pour le réveiller.

- Debout !

Je vis ma fille se diriger vers la pouponnière en criant "Debout!" à Petite Topaze qui dormait toujours. Je me décidais donc à lui amener un bout de viande pour prendre son petit-déjeuner.
Petite Brise sautillait dans la pouponnière tandis que son frère se levait péniblement...

Je sursautais en sentant un pour lourd s'écraser sur mon ventre. J'ouvris les yeux difficilement et vis ma sœur qui me regardais. Je grognais, puis renfermais les yeux et dis en talent comme à mon habitude:

-Mais quoi heu ?! C'est pas une heure pour réveiller les gens ça !

Puis je sentis mon ventre gargouiller. Je sentis aussi une odeur de viande, alors je me levais et me dirigeais vers la proie.

- Je peux ?

- Hihi !

Je trottinai à côté de mon frère.

Je répondis à Petite Topaze :
-Oui vas-y, prend le, je l'ai ramené pour que tu en prenne, ta sœur et moi avons déjà mangé donc tu prends ce qui te fais plaisir.
J'étais heureuse voir mes chatons s'amuser comme cela, ils étaient tellement mignons tous les deux, pour rien au monde je changerai cette place qui m'ai été donnée. Pour rien au monde...

Je m'approchais de la proie puis la mangeais à pleines dents. C'était tellement bon !
Quand j'eus fini mon repas, je me léchais les babines, puis m'assis. Une mouche se posa sur une feuille et je l'attrapais. Il faisais froid dehors, je n'avais pas du tout envie de sortir. Mais rester dedans voulais dire jouer dedans ou pas du tout. Et je n'étais pas trop sûr que notre mère apprécie. Je réfléchissais à tout ça quelques instants, sans savoir me décider.

- Hé, Petit Topaze, on va dehors ?

J'avais envie de me défouler. Même s'il faisait froid dehors, il n'y avait pas assez de place dans la pouponnière, alors je sortis et attendis mon frère à l'entrée de la pouponnière.

-Faites attention à ne pas attraper froid ! leur recommandais-je, et si je vous dis de rentrer vous rentrez c'est d'accord ?
J'appréciais quand il était comme ça,joueur et plein d'énergie, il fallait donc les préserver jusqu'au retour de la saison des feuilles nouvelles.

- oui oui ! dis-je en faisant un clin d’œil à Petit Topaze.

Je les vis tous les deux partir dehors, je les regardai fière, en me disant que je ne supporterai pas s'ils tombaient malades.

Je sortis derrière ma sœur. Je m'assis, et la regardais pendant quelques instants. Quand elle commença à s'ennuyer, je lui bondis dessus et plaquais sa truffe dans la neige. Puis je reculais en rigolant. Elle se redressa, la tête couverte de la poudre blanche.

- Hé !
Je secouai la tête et envoya une gerbe de neige sur la truffe de mon frère. Puis je lui bondit dessus en poussant un grondement joyeux.

Je sortie de la pouponnière et je les regardais s'amuser dans la neige. Je les adorais, ils étaient tout pour moi. Ils étaient ma vie, ma raison de vivre, mes espoirs. Alors je continuais à les regarder s'amuser dans la neige. Il ara bientôt l'heure de les faire rentrer mais, je n'en avais pas le courage, tellement ils s'amusaient. Je décidais d'attendre encore un peu.

UP